Tribulis

Google et les liens payants

Voila un sujet de débat pour ceux (et celles) qui prennent à coeur le référencement de leur site Internet. Afin d'améliorer votre Page Rank (PR) sur Google, une technique consiste à acheter des liens pointant sur votre site. Cette technique trompe les robots de Google vous faisant bénéficier d'une augmentation de votre PR (je schématise). Matt Cutts, responsable de l'équipe antispam de Google avez déjà invité les Internautes à dénoncer les sites vendant leurs liens en remplissant le "formulaire des spams". Plusieurs exemples de sites pénalisés circulent aujourd'hui sur la toile, créant diverses réactions, est-ce que Google a le droit d'interdire la vente de liens? Comment justifier qu'un lien était gratuit (ou payant)? Et surtout, n'est-il pas hypocrite de la part de Google de faire la chasse aux liens payant tout en valorisant adwords? Nous n'avons jamais conseillé ce genre de techniques à nos clients, et je ne suis même pas sûr de l'efficacité réelle de la méthode.  Ceci étant dit, nous sommes en droit de nous demander si la démarche de Google est réellement honnête. Votre avis?

Avec le lancement de la production hiver, Marsans propose en partenariat avec l'Européenne d'Assurance une offre d’assurance multirisques élargie.

Cette nouvelle assurance mise en place avec l'Européenne d'Assurance comprend sept garanties qui couvrent les principales causes d’annulations rencontrées par les voyageurs. La première est la garantie “annulation et modification” qui propose en cas de maladie, décès, accident, y compris maladies antérieures, en plus du remboursement des sommes versées (moins une franchise), 30 euros en chèque cadeau, valable 1 an, à valoir sur un prochain voyage. Elle prévoit aussi en cas d’annulation pour un événement aléatoire, imprévisible, indépendant de la volonté de l’assuré et justifiable, le remboursement des sommes versées (déduction faite d’une franchise de 20% au minimum de 150 euros), ainsi que 50 euros en chèque cadeau, valable 1 an, à valoir sur un prochain voyage. La seconde est la garantie “Interruption de séjour” qui indemnise des prestations terrestres non consommées. La troisième est la garantie “Bagages” qui couvre la perte, de vol ou de détérioration durant le voyage jusqu’à 1.500 euros. La quatrième est la garantie “du prix”. Avec cette assurance, une fois le voyage confirmé et payé, le prix du voyage devient ferme et définitif. La cinquième est la garantie “Assistance rapatriement”. Elle prévoit la prise en charge en cas de maladie, accident ou décès pendant le voyage, les frais de recherche et de sauvetage, l'assistance juridique, et les frais médicaux à l’étranger jusqu’à 40.000 euros. La sixième est la garantie “Retard d’avion”. En cas de retard supérieur à 4 heures à l’arrivée sur le lieu du séjour l'assuré sera indemnisé à hauteur de 80 euros par personne. Enfin, la septième est la garantie “Responsabilité civile du voyageur” qui prévoit en cas de dommages corporels une indemnité allant jusqu'à 4,5 millions d'euros, et jusqu’à 45.000 euros en cas de dommages matériels et immatériels. Cette assurance multirisque peut être souscrite au moment de la réservation pour 3,5 % du montant total du voyage.

La santé à l'épreuve des modes de vie

Près de la moitié de la population française ne gère pas son capital santé et s'implique peu dans la prévention des maladies.

Deux Français sur trois prennent des risques avec leur santé et ils en sont parfaitement conscients. Derrière cette apparente lucidité se cache un bilan inquiétant : un Français sur deux ne s'occupe pas de son capital santé et s'attend à être pris en charge par la Sécurité sociale en cas de pépin. Plus du quart d'entre eux, soit plus de 13 millions de personnes, vivent dans une tranquille insouciance et restent sourds aux recommandations des professionnels de santé (lire encadré) et aux campagnes d'information. « Les actions de prévention comme les bilans médicaux sont encore peu associées à la notion de gestion de la santé. », constate le sondage qui vient d'être réalisé sur la perception de la santé dans l'Hexagone (*).

Une constatation réalisée récemment dans un hôpital parisien confirme ce détachement, qui frôle parfois la désinvolture suicidaire : près de la moitié des personnes ayant subi une intervention chirurgicale après un problème cardio-vasculaire (pontage) recommencent à fumer dans les semaines qui suivent la sortie de l'hôpital. Depuis des années, les psychologues tentent de répondre à cette question. Pourquoi les êtres humains sont si négligents avec leur bien le plus précieux ?

En fait, il existe un très gros décalage entre les intentions et les faits. La quasi-totalité des Français (98 %) associent le concept de « gestion du capital santé » à une « bonne hygiène de vie ». Mais seulement 80 % mettent effectivement en pratique ces bonnes dispositions. « Les Français comptent sur le système collectif de santé pour prendre en charge leurs maladies et s'investissent peu en amont. Pour la majorité, la santé reste un dû, plutôt qu'un devoir », estime l'enquête. « C'est un phénomène de dichotomie classique qui consiste à dire : je sais ce qu'il faut faire, mais je ne le fais pas. Cela montre les limites des campagnes d'information sur la santé », juge Claude Le Pen, économiste de la santé et professeur à l'université de Paris-Dauphine.

Comportements à risque

Pour Bernard Debré, de l'hôpital à Cochin, et député UMP, c'est le système hexagonal orienté sur « le curatif et le remboursement des soins » qui est partiellement responsable d'une situation « où la médecine soignante l'a emporté sur la médecine d'hygiène ». Même son de cloche chez le député PS Jean-Marie Le Guen, lui aussi médecin, qui estime qu'il n'y a pas de « culture de la santé publique en France, alors qu'il y a un hôpital tous les 15 kilomètres ». En d'autre termes, la médicalisation est souvent jugée plus efficace que la prévention. Une chose est sûre, les liens entre mode de vie et maladie sont un des sujets en vogue dans le monde de la recherche. Le dernier rapport de l'Académie de médecine (**) met clairement l'accent sur un certain nombre de comportements qui « mettent la santé en danger ». Cette enquête est en fait une compilation des études épidémiologiques disponibles dans la littérature scientifique ouverte (méta-analyse). Elle se contente de pointer du doigt certains agents chimiques dont on sait clairement mesurer l'impact négatif. Le premier de ces tueurs de la vie de tous les jours est évidemment le tabac : « 43.500 cancers sont attribués au tabac en France en 2000, ce qui correspond chez les hommes à 27 % de l'incidence des cancers et à 33 % des décès, et chez les femmes, à 6,1 % de l'incidence et 9,6 % de la mortalité », rapporte le document.

L'effet cancérogène de l'alcool, dont la consommation a considérablement baissé en France au cours des trente dernières années, est également très bien documenté. Autre mauvais ami : le soleil. Selon une étude australienne, 68 % des mélanomes sont le résultat d'une exposition aux UV. Certaines crèmes antisolaires « accélérant le bronzage » ont d'ailleurs un effet aggravant (quand elles contiennent du 5-methoxypsoralène). « On ne trouve en France une cause spécifique que pour la moitié des cancers. On escompte en trouver d'autres dans l'avenir, et tout doit être fait pour accélérer le processus », estime l'Académie de médecine, qui réclame « de grandes études prospectives sur les facteurs de risque exogènes et endogènes ». Ces experts suggèrent notamment de regarder de près les expositions « pré et post-natales et celles survenues pendant l'enfance et l'adolescence ».

Marge de manoeuvre étroite

La connaissance objective de ces facteurs permettra-t-elle de convaincre les « insouciants » et les « fatalistes » ? La marge de manoeuvre est étroite, entre responsabilisation (qui marche parfois) et culpabilisation (qui ne marche jamais). Particulièrement chez les adolescents, présentés comme la population qui tire le plus de chèques en blanc sur sa santé. Un ouvrage récent réalisé par un collectif de chercheurs dirigé par Claude Griscelli (***), montre les difficultés de l'exercice. « Les adolescents ont finalement une conscience assez aiguë que jouer avec le feu est d'abord un moyen d'attirer l'attention. Le problème est qu'ils ne prennent pas assez conscience des conséquences désastreuses que cela pourrait avoir pour eux », indique le document. Du coup, les conduites à risque des ados deviennent une « sorte de reconnaissance identitaire ». De surcroît, et comme l'indique le pédopsychiatre Philippe Jeammet, « le choix de se faire du mal est insidieusement valorisé par le dolorisme de la société ».

Les échos le 03/10/2007

Le Low Cost dans l’assurance et les services financiers

Jeudi dernier, Tribulis a participé à une matinée conférence organisée par le LAB (Laboratoire Assurance Banque) sur le thème du Low Cost dans l’assurance et les services financiers. Les différentes interventions étaient dans l’ensemble complémentaires et intéressantes et Tribulis a présenté un panorama consommateur avec la perception et les profils de clients.

La Mutuelle Intégrance s'associe à la 5ème édition du festival Européen Théâtre et Handicap Orphée

La Mutuelle Intégrance s'associe à la 5ème édition du festival Européen Théâtre et Handicap Orphée (Oeuvres et Réalisations des Personnes Handicapées d'Expression Européenne), en partenariat avec la Fondation Crédit Coopératif, qui se déroulera du 16 au 26 octobre 2007 au Théâtre Montansier à Versailles.

Conçu initialement comme un projet européen, le Festival s'ouvre pour la première fois à des compagnies en provenance d'autres pays du monde. Ainsi cette édition verra se produire Six troupes de théâtre venues de France, mais aussi d'Espagne, des Pays-Bas et du Brésil. Elle permettra aux artistes en situation de handicap de montrer tout leur professionnalisme et confirmera, une nouvelle fois, que le talent sublime tout handicap.

En 2006, plus de 3200 spectateurs ont suivi et apprécié les spectacles proposés. 

Vu sur le web

"Convaincu de vous offrir le meilleur service de recherche d'assurance, tant au niveau de la diversité que de la qualité des offres de ses partenaires assureurs, Assurland.com s'engage !

Si vous trouvez une assurance auto moins chère ailleurs, on vous rembourse la différence !

Concrètement, si vous remplissez certaines conditions, Assurland.com vous rembourse la différence si vous trouvez moins cher ailleurs un produit d'assurance automobile identique à celui souscrit grâce à ce service."

Que pensez-vous de cette promesse?

Une nouvelle Filiale chez April, c'est Gay !

Avec sa nouvelle filiale Solidaris SA, April propose de trouver des solutions aux problèmes qui se posent à la communauté homosexuelle:

"La communauté homosexuelle ne lutte pas seulement pour affirmer librement une préférence sexuelle, mais pour trouver des réponses à des points aussi fondamentaux que l'adoption, le mariage, mais aussi la discrimination à l'embauche, les freins à la location d'un logement, les prêts bancaires..." écrit April Group.

La gamme proposée devrait se composer d'offres de protection juridique, assurance de prêt et assurance voyage.

Nul doute que dans le cadre d'une véritable offre affinitaire, ce positionnement soit performant.

Oct / Nov / Déc : La période phare des résiliations Santé

En cette période phare des résiliations en Santé Individuelle, Tribulis vous propose 2 études, qui correspondent à 2 approches différentes.

L’approche marché avec la vague 2 du BAROMETRE « INTENTIONS DE RESILIATION – SANTE » de Tribulis, qui étudie les intentions de résiliation et d’équipement des adhérents individuels Santé en France, hors motifs « légitimes ».

L’approche acteur avec l’étude mono client standardisée « HALTE AUX RESILIATIONS » qui s’intéresse aux motifs de résiliations de VOS résiliés.

Renseignez-vous : [email protected]

« Moto plus sûre », l’offre de la MACIF

L'ABS est-il un réel plus en matière de sécurité ? C'est en tout cas le pari de la Macif qui a choisi à travers son offre "Moto plus sûre", lancé le 17 octobre, de réduire de 10% les primes pour les garanties responsabilité civile et dommages au véhicule pour les deux-roues équipés de freins ABS.

Bien que dépourvu d'ABS, le scooter MP3 Piaggio fait lui aussi partie du lot, puisque l'offre inclut les véhicules dotés de "deux roues directrices à l'avant".

Comme on peut s'en douter, chez les assureurs concurrents les avis sont très partagés... Revue de détails.

Chez les "gros" assureurs comme AXA Club 14 et la MAAF, qui revendiquent chacun autour de 10% du marché des motos, rien n'est prévu pour favoriser l'ABS. "Pour l'instant, même si ce système représente un confort fantastique pour le conducteur, sa part reste trop marginale dans le nombre des immatriculations", estiment Hervé Gicquel et Philippe Modolo de Club 14, le département moto d'AXA. "Nous préférons travailler pour offrir aux assurés moto la même couverture que les assurés auto, ce qui n'est pour l'instant pas le cas".

Pourtant la Macif (qui revendique 650 000 assurés deux-roues, soit 25% du marché), à l'origine de cette offre estime à 30 000 le nombre deux-roues assurés déjà équipés de l'ABS. Un nombre conséquent que confirme la Mutuelle des Motards, chez qui le nombre de deux-roues avec ABS est de 9 000, soit 6% de son parc total.

Pour autant Eric Marot, le responsable de la classification moto à la Mutuelle des Motards, a un avis tranché sur la question. "L'offre de la Macif est une opération marketing", résume-t-il. "Pour nous, il n'y a rien de probant en matière de sécurité des véhicules ABS qui justifierait une baisse tarifaire". Et d'enfoncer le clou en rappelant que "c'est nous qui avons été les premiers à faire des offres privilégiées pour les possesseurs d'ABS. C'était il y a plus de 20 ans, lorsque BMW a sorti son premier modèle. Mais devant l'absence de preuve d'une sécurité accrue, nous sommes vite revenus dessus !"

Conseil en e-business assurance pour seniors

Nouvelle opération conseillée par Tribulis sur la cible des seniors.