Tribulis

Les TPE/PME et Internet

Un très grand nombre d’acteurs du marché de l’assurance ont des stratégies de conquête vers les TPE/PME.

Savez-vous que plus de la moitié des entreprises françaises n’ont aucun salarié ? Que les PME de moins de 50 salariés représentent 99 % des entreprises et 55 % des emplois ? Les petites structures sont le véritable moteur de l’économie française. Elles restent cependant, pour beaucoup, largement méconnues.

Etes vous certain que votre stratégie « Internet » à destination de cette cible est optimisée ? Quelques chiffres peuvent nous permettre d’apprécier leurs utilisations d’Internet.

73 % des PME françaises sont utilisatrices d’Internet,

88,8% des chefs d’entreprise utilisent BEAUCOUP Internet

45 % du personnel des TPE utilise Internet, contre 30 % pour les autres entreprises

Ces éléments confortent le fait que les différents acteurs du marché de l’assurance doivent véritablement consolider leurs stratégies marketing/commerciales en intégrant, selon les spécificités de cette cible, ce média.

78% des Français plébiscitent le covoiturage

Alors pourquoi aucun assureur n’a pris d’initiative majeure en ce domaine. Je souhaite que s’organise un tour de table avec les assureurs, car nous avons des propositions concrètes sur ce sujet des plus importants.

Voici les avantages pour l'environnement et la société :

-Réduction du nombre de véhicules en circulation,

-Baisse de la pollution,

-Réduction des problèmes de circulation,

-Economies d'énergie,

-Réduction des coûts d'élargissement des routes,

-Réduction des accidents et des frais qui en résultent,

En faisant participer des passagers, le conducteur réduit ses frais de transport pour chaque trajet partagé. Les passagers réduisent le temps et les frais de transport.

De plus le conducteur, responsabilisé par la présence de passagers, est plus appliqué dans sa conduite et les passagers ne subissent pas le stress de la circulation. Le risque d'accident s'en trouve réduit.

110 000 à 120 000 couples divorcent chaque année.

Aujourd’hui un divorce sur deux en Région Parisienne, un sur trois en Province, et demain ?

Est-ce pour les acteurs de l’assurance, une menace ou une opportunité, voire une nouvelle cible marketing, voire une « communauté » présentant à un moment donné des besoins spécifiques ? Le divorce est l'une des trois causes de surendettement en France. C'est vers l'avocat que se tournent en priorité les couples qui se séparent. Aussi, les conseillers bancaires ou les assureurs sont  souvent informés très tardivement de la séparation de leurs clients, le plus souvent à l'occasion d’impayés.

Les assureurs semblent effectivement informés trop tard et doivent prévoir en amont des dispositifs précis permettant d'identifier de telles situations  (offres/services/process)

Il s’agit probablement  d’une cause majeure de pertes de contrat, il paraît donc nécessaire d’entrer, selon moi, dans une stratégie opérationnelle permettant la fidélisation, les actions à entreprendre devant être très certainement en amont des conséquences de la séparation

L’innovation au Québec

“ En ce qui concerne les particuliers, près de 35% du volume des primes souscrites, le sont dans les produits santé. D’ici cinq ans, déclare Paul ROY directeur principal de DSF (Desjardins Sécurité Financière), ça va probablement représenter 50% »

DSF s’assure de toujours faire évoluer son offre pour tenter de se distinguer dans ce marché très concurrentiel.

Entre autres nouveautés, DSF a récemment lancé une assurance soins de longue durée en cas de perte d’autonomie et une assurance maladie grave pour les enfants.

Toujours pour s’ajuster aux besoins de sa clientèle, DSF conçoit également des produits hybride pouvant combiner une assurance vie avec une assurance maladie grave ou une assurance maladie grave avec une assurance soins de longue durée.

Web 2.0 : Les bloggeurs et l’assurance

Opinions d’Assureurs « Web 2.0 : Les bloggeurs et l’assurance »

Le Jeudi 14 juin 2007 à 8H30 au Press Club de France

Immigration 2ème et 3ème génération

Que propose les assureurs pour les plus de 4 millions d’immigrés en France ?

Un très grand nombre souhaite être enterré – inhumé sur leur terre d’origine.

Leurs origines géographiques sont de plus en plus diversifiées. Moins d’immigrés nés dans les pays d’Europe contre une légère augmentation des immigrés originaires du Maghreb ou en provenance de pays de plus en plus lointains.

A ce constat s’ajoute le vieillissement général de la population et la question du vieillissement de la population immigrée en France n’est pas récente.

La retraite, le décès sont donc deux nouveaux états à prendre en compte.

Lors du décès, le rapatriement du corps demeure la règle générale mais cette pratique est coûteuse et n’est souvent rendue possible que par la solidarité communautaire.

Selon une enquête de la CNAV, près de 35% souhaiteraient être inhumés dans leur pays d’origine et 25% hésitent. D’un point de vu religieux, ce sont majoritairement les musulmans qui souhaitent être enterrés dans leur pays d’origine.

La Banque Marocaine prévoit une assurance décès qui permet le rapatriement du corps mais aucun système analogue n’existe pour les Algériens, Tunisiens ou Turques par exemple.

Les seniors partent en voyage – quels nouveaux services les assureurs doivent-ils leurs fournir ?

De récentes études européennes font émerger le constat suivant : les seniors voyagent de plus en plus souvent, de plus en plus loin et de plus en plus longtemps…

Face à ces évolutions, qu’il convient d’analyser sous différents angles, les assureurs doivent modéliser des offres permettant de satisfaire des besoins légitimes en terme d’assurance, assistance.

Au-delà des « protections habituelles » et nécessaires en terme d’assistance et d’assurance, le département recherche de TRIBULIS travaille en ce moment à des services d’assurances et d’assistance (sécurité à l’étranger, services de secours, services d’information locale en langue française, localisation de médecins ou centres de soins, conciergerie, traduction en langue française, orientation,…) intégrables au sein de contrats d’assurance et d’assistance.

MACSF propose à ses sociétaires, professionnels de santé, une carte bancaire affinitaire

La mutuelle du corps sanitaire va proposer à ses quelque 600.000 sociétaires une carte bancaire affinitaire avec "cash back" en partenariat avec la Banque Accord, filiale du groupe Auchan. Cette carte, moins chère qu'une Carte Bleue, rapportera 1 % sur tous les achats effectués, ainsi que des avantages sur certains achats réalisés par Internet.

7ème Baromètre des institutions de prévoyance (CTIP/CREDOC)

Dans cette septième vague d'enquête réalisée en février/mars 2007, les salariés interrogés sur les garanties les plus importantes pour eux citent toujours la complémentaire santé (59 %), une garantie solidement ancrée en première position loin devant l'épargne retraite (23 %) et la prévoyance (17 %). En complémentaire santé, les contrats collectifs ont toujours la préférence des salariés. Les salariés semblent moins sensibilisés à l'importance de la prévoyance complémentaire en cas de risques majeurs comme le décès, l'invalidité et l'incapacité de travail. Ce baromètre intégrait des questions relatives au financement de la dépendance. Huit salariés sur dix estiment que la dépendance doit être financée, au moins en partie, par la solidarité nationale. Les responsables de PME optent davantage pour une assurance supplémentaire (56 %) plutôt qu'une prise en charge par la seule solidarité nationale (20 %). Salariés et employeurs soulignent le rôle des entreprises en matière de handicap. Les employeurs doivent surtout s'impliquer dans la prévention contre les accidents (83 %) et dans l'aide au maintien et au retour à l'emploi.

Une « garantie perte d’étoile » en cas de rétrogradation au guide Michelin.

Un assureur lyonnais propose aux chefs étoilés une « garantie perte d’étoile » en cas de rétrogradation au guide Michelin.

Décrocher une étoile au Michelin une consécration, la perdre une infamie. Une désillusion qui se couple parfois d’une perte de clientèle. Pour pallier au manque à gagner, lorsque cette étoile est retirée, l’assureur lyonnais C&D propose la « garantie perte d’étoile ». Son principe : « reconstituer l’image de marque » du restaurateur. Plutôt que de compenser la baisse de revenu suite au jugement lapidaire du guide, l’assureur alloue un budget pour « travailler avec une agence de communication sur la qualité de l’établissement » explique Bernard Fabre, directeur commercial de la société C&D Assurance. Un moyen de restaurer l’image de marque du restaurant. M. Fabre assure qu’une vingtaine de clients « ont donné un avis favorable » pour une refonte de leur contrat. Pour Jean-Claude Vrinat, aux commandes du Taillevent à Paris, la sortie du guide « est toujours un moment de stress. Quand on a une deux ou trois étoiles on a toujours peur de la perdre, confie-t-il. Personne n’est insensible. »