Tribulis

Le salon des éco-consomm'acteurs

Le salon des éco-consomm'acteurs se tiendra dans le Parc de Beauvais à Romorantin les 20 et 21 septembre prochains, afin d'informer les consommateurs sur les produits écologiques et responsables disponibles sur le marché.

Un consom'acteur est un consommateur responsable, qui va prendre en considération dans ses actes d'achat des critères de développement durable.

Il ne consomme que si c'est absolument nécessaire, se préoccupe de l'impact environnemental du produit qu'il va acheter, mais également des conditions de travail des personnes qui l'auront fabriqué.

L’objectif du salon des éco-consomm’acteurs est d’informer le public sur la diversité des produits écologiques et du commerce équitable disponibles sur le marché, "et de lui donner l’occasion de rencontrer les producteurs, distributeurs et acteurs de cette filière dans le but de permettre à ces alternatives écologiques de sortir de l’anonymat dans lequel elles se trouvent encore trop enfermées et d’orienter notre société vers des modes de production et de consommation plus respectueuses de notre environnement".

Eco-Terre Le «comarquage» pour appâter le chaland?

En apposant une marque à leur offre classique, les banques veulent attirer de nouveaux clients. Depuis le 1er octobre, le «comarquage» (ou cobranding) - qui consiste à apposer une marque commerciale à un organisme bancaire - est autorisé en France. Une disposition jusque-là interdite, le Groupement des cartes bancaires ayant privilégié l’aspect sécuritaire de la carte de paiement au détriment de l’outil de marketing. Aujourd’hui, banques et organismes de crédit, qui gèrent chacun 55 millions de cartes dans l’Hexagone, peuvent donc laisser libre cours à leur imagination. En misant sur 10 à 20 millions de cartes souscrites d’ici à cinq ans et une augmentation générale du volume de crédit.«Affinitaire». Plusieurs grandes marques ont déjà lancé leurs cartes comarquées. Des fabricants automobiles tels Fiat ou Renault, des voyagistes comme Nouvelles Frontières ou encore l’opérateur téléphonique Orange. Ce dernier s’est associé à BNP Paribas pour proposer une carte bancaire prépayée aux jeunes de 12 à 17 ans et a créé, à cette occasion, un établissement de crédit commun. Les possesseurs de ces nouvelles cartes bénéficient d’une offre bancaire classique, à laquelle s’ajoute des avantages commerciaux, tels les programmes de fidélisation ou l’accès à différents services facturés par les marques. Avant d’associer son nom à celui d’Universal, la Socgen avait déjà testé ce marché avec sa carte Rugby, écoulée à 120 000 exemplaires. Elle proposait de réserver des places pour les matches auprès de la Fédération française de rugby mais sans partage des revenus. Il s’agit, explique la Société générale, de jouer sur le côté «affinitaire», en permettant aux adhérents de «choisir la carte qui leur ressemble». Soit une soixantaine de nouveaux produits disponibles, allant de l’offre «pour elle» - la femme - à la carte caritative avec reversement de quelques centimes à une association humanitaire à chaque achat. Si les banques jouent sur le comarquage en espérant accroître et fidéliser leur clientèle, la version la plus évoluée du cobranding consiste à proposer une réserve automatique d’argent. Elle reste l’apanage des organismes de crédit. Ces modèles coûtent moins cher (moins de 30 euros) que les cartes classiques mais poussent à la consommation avec une ligne de crédit - facultative -, au taux d’intérêt très élevé (18 %). Une pratique dénoncée par les associations de consommateurs qui mettent en garde contre ces cartes «deux en un», certes moins chères à l’achat, mais plus onéreuses pour le consommateur au final. Mitigé. «Evolution plus que révolution», selon un banquier, ces nouvelles cartes ont connu un succès mitigé depuis leur lancement. La faute à une conjoncture peu favorable à la consommation, explique la profession. «On a beau avoir plus de cartes, plus d’avantages et de facilités de paiements, si on n’a pas d’argent, on ne consomme pas plus.»

Pour enfin concilier commerce et solidarité et permettre à tous, d’être des CONSOM’ACTEURS !

Avec Solidarshop nous vous proposons d’initier une démarche solidaire au quotidien, simple et sans surcoût.

Voir 10% du montant de ses achats reversés à l’association de son choix, sans surcoût: tel est le concept que propose Solidarshop, nouveau site de commerce en ligne lancé le 15 mai dernier par deux spécialistes de la distribution: Vincent Garnier et Jean-Christophe Linder.
Près de 20 000 références parmi des produits high-tech, des DVD, des jeux, ou encore des jouets (et, peut-être, bientôt, des cosmétiques, des vêtements, des places de concerts, etc.), sont vendus au prix du marché, puisque le site rogne sur ses marges pour reverser systématiquement 10 % du prix payé par l’internaute à une association partenaire de son choix: le WWF, Care, Handicap International ou

la Fédération

des maladies orphelines.  Le montant total des dons sera affiché sur la page d’accueil du site et Solidarshop sera régulièrement controlé par deux cabinets d’audit indépendants.

http://www.solidarshop.com/site/Boutique_solidaire-3.html

BNP Paribas Assurance en faveur de l'égalité professionnelle hommes-femmes

Le label égalité récompense des pratiques exemplaires en matière d'égalité Hommes-Femmes

Un nouvel accord égalité Hommes-Femmes validé par referendum à 93%

BNP Paribas Assurance, 4ème assureur vie en France et leader mondial en assurance des emprunteurs, à reçu le Label Egalité.

En France, 45% des cadres de BNP Paribas Assurance sont des femmes et le comité de Direction Générale est composé de 36% de femmes.

« Ce Label nous encourage à aller plus loin dans notre politique visant à favoriser la diversité, à prévenir toute forme de discrimination et à encourager la mise en place d'une démarche de progrès dans ce domaine», a déclaré Marie-Christine Barjolin, Directeur des Ressources Humaines de BNP Paribas Assurance.

L'obtention du Label Egalité AFAQ-AFNOR, vient récompenser les pratiques exemplaires déjà initiées par l'entreprise en matière d'égalité Hommes-Femmes et incite à l'amélioration continue de l'égalité de traitement et de l'égalité des chances entre les Hommes et les Femmes.

Attribué pour 3 ans, il fera l'objet d'une revue intermédiaire à 18 mois afin de comparer les résultats obtenus avec le plan d'action initial.

Un Label qui met en évidence les avancées en matière d'égalité professionnelle réalisées dans le cadre du nouvel accord égalité Hommes-Femmes BNP Paribas Assurance porte une attention particulière à l'équité Hommes-Femmes. Au sein de la compagnie, l'égalité professionnelle a fait l'objet fin 2007, d'un accord négocié avec les partenaires sociaux et approuvé par référendum interne à 93 %.

Les actions décidées dans le cadre de l'accord, portent sur la sensibilisation du management, le congé parental d'éducation, l'allongement du congé paternité à 2 semaines calendaires et le maintien à 100% du salaire, l'accompagnement des congés maternités, l'étude des rémunération et la mise en place d'indicateurs de suivi.

A titre d'exemple, au nombre des actions volontaristes visant à améliorer l'équité en matière d'égalité salariale, BNP Paribas Assurance a mis en place le Comité ROSE ( Rémunérations Objectivées Stimulant l'Egalité) travaillant sur un dispositif de rattrapage qui cible 3 populations.*

* - salariées ayant cumulé au moins deux congés maternités ou congés d'adoption au sein de l'entreprise depuis leur recrutement

- salariées à temps partiel à la date d'entrée en vigueur de l'accord

- salariées ayant une ancienneté au sein de BNP Paribas Assurance égale ou supérieure à 10 ans

Partenariat GMF: améliorer l'accés des handicapés aux parcs nationaux

Résumé : Les Parcs nationaux de France (PNF) ont annoncé mardi le lancement d'un programme d'accessibilité des neuf parcs nationaux aux handicapés grâce à un partenariat avec l'assureur GMF.

Concrètement, dans les prochains mois et années seront rendu accessible aux touristes handicapés :

- Eté 2009 : un sentier de 2,5 km accessible aux personnes à mobilité réduite et aux malvoyants sera tracé dans le parc du Mercantour, au coeur du vallon du Lauzanier (Alpes de Haute-Provence).

- Dans les neuf autres parcs nationaux, l'amélioration de l'accessibilité aux handicapés se traduira par l'adaption des centres d'accueil et d'information, des sentiers et lieux d'observation de la faune et de la flore, le développement de moyens d'interprétation sensorielle en fonction des handicaps, a précisé PNF.

- Dans le parc national de Guadeloupe, dans le massif de Basse-Terre un belvédère accessible aux handicapés et des panneaux d'information en braille seront ainsi mis en place.

"Il y a eu des initiatives locales en direction des handicapés dans les parcs nationaux mais c'est le premier programme d'envergure lancé par PNF au niveau de toutes les structures", président de PNF, Jean-Pierre Giran.

Il s'agit, a précisé M. Giran, de la première convention passée par PNF avec un partenaire privé pour un montant de 900.000 euros sur trois ans.

Le PNF est un établissement public qui regroupe les neuf parcs nationaux français

Les groupes AG2R-Premalliance et Euromed Marseille Ecole de management

Les groupes AG2R-Premalliance et Euromed Marseille Ecole de management, nouent un partenariat pour la création de la chaire « Finance autrement : investissement, solidarités, responsabilité ». Cette alliance, articulée autour de programmes de recherche, de pédagogie et de cours sur l'investissement responsable et solidaire, se traduit entre autres par le lancement, en septembre prochain, d'un nouveau fonds de financement, baptisé Ethomed.

La mercedes-Benz E 300 Bluetec remporte le Grand prix auto environnement 2008 de la Maaf

Maaf a décerné le 16 juin dernier, pour la 4e année consécutive, les Prix auto environnement qui distinguent les véhicules considérés par un jury de douze journalistes automobiles comme étant les plus représentatifs des efforts réalisés par les constructeurs en matière de modèle « propre ». Et le Grand prix 2008 _ tous segments confondus _est attribué à la Mercedes-Benz E 300 Bluetec. Le taux d'émission de CO2, mais aussi les oxydes d'azote (Nox), les hydrocarbures ou les particules ont été prises en compte lors des délibérations. « La quasi-totalité des grandes marques automobiles ont présenté cette année au moins un véhicule au Prix auto environnement », a déclaré Éric Madelénat, responsable chez Maaf de ce prix.

Un hypermarché lance un site de covoiturage

C'est la première fois qu'une entreprise incite les consommateurs à partager leur véhicule.

Cette semaine, l'hypermarché Leclerc de Landerneau, près de Brest, a ouvert un site Internet dédié au covoiturage. «C'est une réponse à la hausse du carburant, au débat sur le pouvoir d'achat et à la question du développement durable», résume Bertrand Abiven, directeur du magasin, dont la zone de chalandise s'étend sur une quarantaine de kilomètres à la ronde.

Le dirigeant du magasin estime que 80 % de ses clients se déplacent seuls dans leur véhicule. Pour ceux qui n'auraient pas d'accès au Web, un numéro azur a été mis en place. «Un consommateur qui habite à 15 kilomètres de cet hyper et qui utilise son véhicule une fois par semaine pour y faire ses courses économisera 200 euros par an en partageant les frais avec une autre personne», assure Olivier Branellec, dirigeant de Roulez Malin. C'est cette petite société brestoise qui a conçu le site de covoiturage de l'hypermarché mais aussi celui de Suez.

C'est en 2005 que le conseil général du Finistère a décidé de développer le covoiturage. «Une douzaine d'aires de covoiturage ont été créées. À terme, nous en aurons 40», précise Olivier Bosch, chargé d'études à la direction des déplacements.

Engouement

Depuis son lancement, le site finistérien totalise 2 500 trajets déposés. «Pour 65 % des voyages proposés, il s'agit de trajets réguliers, le plus souvent domicile-travail», dit Olivier Bosch. Fort de cet engouement, le conseil général a décidé d'élaborer un plan de déplacement d'entreprise en y associant Quimper et Brest.

Enfin, d'ici à quelques semaines, le site Internet de covoiturage proposera des sous-espaces pour les entreprises qui souhaitent inciter leurs salariés à développer le partage de voiture.

Yves Sanquer, responsable du développement durable au sein du groupe de banque-assurance Arkéa, qui emploie 7 000 salariés, se réjouit de cette initiative. «En 2007, dit-il, nous avons réalisé le bilan carbone sur nos trois sites centraux qui emploient quelque 1 500 personnes. Plus de la moitié des émissions de gaz carbonique provient des déplacements. Et plus précisément, les trajets domicile-travail produisent un tiers des rejets. Il est donc important de nous mobiliser.»

De même, la conserverie Chancerelle à Douarnenez, se laisserait bien tenter. «Nous n'avons pas encore pris de décision définitive, conclut Frédéric Bergues, directeur de la qualité et de l'environnement. Mais c'est une solution qui nous intéresse ; c'est une logique qui est opposée à la prime aux carburants.»

Des spots chocs pour un comportement responsable sur les routes

Le gouvernement a présenté ce mercredi une nouvelle campagne de sécurité routière visant à sensibiliser les Français à un comportement responsable sur les routes.

Des images chocs, représentant des personnes apprenant la mort d’un proche dans un accident de la route, seront diffusées jusqu’à la fin mai à la télévision et dans les salles de cinéma

Plusieurs spots et messages seront diffusés jusqu’à la fin mai dans tous les médias (TV, cinéma, radio, Internet, presse). Contrairement aux précédentes campagnes, celle-ci ne présente pas d’images d’accident, mais des personnes apprennant par téléphone la mort d’un proche dans un accident de la circulation.

Ces spots chocs seront diffusés du 7 au 28 mai 2008 sur les grandes chaînes de télévision nationales et les chaînes de la TNT, puis au cinéma à partir du 21 mai pendant quatre semaines. Des messages seront également diffusés sur les grandes ondes nationales (du 7 mai au 1er juin) et dans la presse quotidienne régionale. La campagne sera également relayée sur Internet, sur les sites grand public, à travers des bannières animées.

Avec la signature "Sécurité routière, tous responsables", cette campagne invite tous les citoyens, qu’ils soient conducteurs ou passagers, automobilistes, motards ou cyclistes, à prendre leur part de responsabilité sur la route.

Pour la Sécurité routière, cela signifie que chaque usager de la route doit adopter des gestes et des réflexes simples, comme tester son alcoolémie, ne pas laisser ses amis prendre le volant lorsqu’ils ont bu, demander au conducteur de ralentir s’il roule trop vite, attacher sa ceinture, être attentifs aux deux-roues et aux piétons, attacher correctement son casque, ne par rouler à vélo sur les trottoirs, ne pas téléphoner au volant, etc.

"Être victime d’un accident de la circulation est inacceptable" a déclaré Jean-Louis Borloo lors de la présentation de cette campagne. "La collectivité française dans son ensemble doit se remobiliser autour des enjeux de la sécurité routière et poursuivre les efforts entrepris. C’est une question de responsabilité tant individuelle que collective" a ajouté le ministre de l’Ecologie.

Chaque jour, les accidents de la circulation en France tuent en moyenne 13 personnes et en blessent 300 autres. L’alcool, la vitesse, l’usage du téléphone au volant, la fatigue, la somnolence ou encore la consommation de stupéfiants sont les principales causes d’accident.

22 avril : Journée Mondiale de la Terre

Mardi dernier, le 22 avril, c’était la Journée Mondiale de la Terre. Cet évènement, célébré pour la première fois le 22 avril 1970, est aujourd'hui reconnu comme l'événement environnemental populaire le plus important au monde. Son fondateur est le sénateur américain Gaylord Nelson, qui encouragea les étudiants à mettre sur pied des projets de sensibilisation à l'environnement dans leurs communautés. Aujourd'hui, la Journée Mondiale de la Terre est célébrée par plus de 500 millions de personnes à travers le monde, dans 184 pays.