Parions que tout parent d'un nouveau-né ou d'un jeune enfant a bien d'autres préoccupations que de se soucier des assurances dont pourrait bénéficier celui-ci. Au mieux pensera-t-il à se doter d'une assurance-vie qui, si jamais il venait à disparaître prématurément, assurerait une certaine sécurité à sa famille.
Les assureurs offrent une gamme vraiment étonnante de produits destinés à couvrir une foule d'aspects de la vie d'un enfant, y compris d'éventuelles études universitaires, voire sa future vie d'adulte et de parent. Comme le résume Martin Vézina, conseiller en marketing et responsable du développement de nouveaux produits chez Industrielle Alliance, «l'offre que nous pouvons faire aux parents est étonnamment vaste. Nous avons une gamme de produits qui couvre tous les besoins d'une famille, du nouveau-né jusqu'aux jeunes adultes. »
La firme qu'il représente possède plus d'un siècle d'expérience dans l'assurance de personnes. «Les produits que nous offrons peuvent être divisés en deux grandes catégories, indique pour sa part Jacques Carrière, vice-président aux relations avec les investisseurs. Nous offrons de l'assurance de personnes ainsi que des produits d'épargne (comme les banques). Notre compagnie est née à Québec en 1892 et nous sommes aujourd'hui une entreprise pancanadienne.»
Il existe une foule de façons d'assurer l'avenir de son enfant. Bien sûr, on peut lui procurer une assurance qui le dédommagera en cas de blessures ou d'accident grave. Il s'agit alors d'une assurance-vie semblable à celle d'un adulte mais adaptée aux particularités de l'enfance. On peut aussi lui faire cadeau d'une police d'assurance-vie normale qui le couvrira toute sa vie mais qui sera entièrement payée durant son enfance. Comme le relate joliment Martin Vézina: «C'est là un beau cadeau que peut faire un grand-parent à son petit enfant.» Enfin, on peut se procurer des couvertures d'assurance pour pourvoir à ses études universitaires ou pour se protéger contre l'éventualité où il serait gravement affecté par une maladie, un accident ou un handicap.
Comme l'explique M. Vézina, le fait d'assurer tôt un enfant lui procure, à lui et à ses parents, de nombreux avantages. Ainsi, des parents qui font assurer leur premier enfant peuvent, selon certaines polices, obtenir une couverture pour toute la famille, quel que soit le nombre d'enfants à venir. Industrielle Alliance a même mis au point des programmes taillés sur mesure pour les poupons et les bambins qui offrent une couverture véritablement gratuite durant une année.
Les avantages d'être assuré tôt
«Le produit le plus vendu sur le marché canadien, c'est notre assurance-vie Génésis», indique M. Vézina. Il s'agit d'une assurance qui est offerte à tous indépendamment de l'âge. Toutefois, dans le cas d'enfants, l'assureur offre la possibilité de faire des paiements accélérés, permettant ainsi à l'acheteur de défrayer le coût total de l'assurance sur une période de 10, 15 ou 20 ans. «De la sorte, l'enfant demeurera assuré pour le reste de ses jours sans jamais n'avoir rien d'autre à payer!»
Par ailleurs, une assurance-vie pour enfant peut comprendre le versement de montants pour des blessures accidentelles. «On sait que les enfants font souvent des activités qui peuvent [entraîner] des blessures, indique le représentant de l'Industrielle Alliance. Selon le cas, on offre des montants de l'ordre de 5 000 à 15 000 $ qui peuvent [dédommager] ou aider la famille lors de la guérison ou de l'adaptation de l'enfant à une nouvelle situation.»
En outre, le fait d'assurer tôt un enfant procure ce que M. Vézina appelle une «garantie d'assurabilité», c'est-à-dire que l'enfant demeurera assuré même s'il développe certains problèmes de santé. Cette garantie d'assurabilité peut en outre permettre, lorsque l'enfant sera devenu adulte, d'accroître à peu de frais sa protection, par exemple de 100 000 à 150 000$. «L'enfant bénéficie donc de la garantie qu'il pourra augmenter son assurance indépendamment de son état de santé», souligne M. Vézina.
Souvent aussi, le fait d'assurer son premier enfant procure d'énormes avantages pour les suivants. «C'est donc dire que s'il y a un, deux ou trois autres enfants, ce sera le même tarif, affirme Martin Vézina. Encore là, le fait d'être assuré tôt garantit l'assurabilité de tous les enfants indépendamment de l'évolution de leur santé.»
Les enfants peuvent en outre bénéficier d'un «boni non-fumeur», indique M. Vézina. «Lorsqu'ils atteignent l'âge de 15 ans et qu'ils nous démontrent qu'ils sont en bonne santé et qu'ils sont non-fumeurs, on leur donne un boni de 40 % de leur capital assuré», indique-t-il. Par exemple, si l'enfant a été assuré pour une somme de 100 000 $, il pourrait se voir accorder 40 000 $ de plus en assurance.
L'Industrielle Alliance serait même la seule à offrir une assurance hospitalisation. «On verse un montant forfaitaire pour chaque jour que l'enfant est hospitalisé», précise Martin Vézina. Ce montant peut servir à dédommager les parents qui s'absentent du travail pour accompagner leur enfant à l'hôpital. Il peut aussi servir à défrayer les médicaments ou la location d'une télévision dans la chambre d'hôpital. «Une telle assurance hospitalisation permet donc de défrayer un certain nombre de dépenses imprévues», résume-t-il.
Assurances poupon et bambin
L'Industrielle Alliance offre aussi deux programmes d'assurance pour très jeunes enfants. Il s'agit de ses programmes surnommés Poupon et Bambin.
Le premier est une assurance accidents qui couvre gratuitement, durant 12 mois, tout enfant âgé d'au moins 15 jours et d'au plus 12 mois. Il offre entre autres des montants pouvant aller de 1 000 à 50 000 $ en cas de mutilation ou une somme de 5 000 $ en cas de décès accidentel.
Quant au programme Bambin, il offre une prestation de 2 000 $ versée au diagnostic d'une maladie grave. Il s'adresse à tout enfant d'une même famille âgé entre 2 et 5 ans, et pour lequel aucun diagnostic de maladie grave n'a été prononcé à la date d'adhésion. Ce programme vise à aider les parents à prendre soin de leur enfant en cas de maladie grave.
En tant que jeune père, Martin Vézina bénéficie lui-même de ces programmes. «Et c'est tout à fait gratuit, insiste-t-il. Vous pouvez prendre l'une ou l'autre de ces assurances durant la première année et vous n'avez par la suite aucun engagement envers nous. C'est vraiment gratuit!»
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