Tribulis

MAAF, le « bonus à vie », MATMUT le « super-bonus »

A partir du 1er novembre 2007, la MAAF propose à certains de ses assurés de bénéficier de l’avantage tarifaire lié au "Bonus à Vie MAAF". Tous les automobilistes et les motards bénéficiant de 50% de bonus depuis au moins trois ans, ce qui représente au moins 16 ans de conduite, et qui n’ont pas eu d’accident responsable au cours des 24 derniers mois pourront profiter de cette offre. Et ce même s’ils venaient à se rendre responsables d’accidents. Autrement dit, ce contrat permettra au client de bénéficier sur son contrat auto ou moto d’une cotisation équivalente à celle obtenue avec un bonus de 0.5 point en cas de sinistres responsables. La MAAF se réserve tout de même le droit de résilier le contrat en cas d’accident en état d’ivresse ou sous influence de drogues et de délit de fuite après avoir causé un accident. Par ailleurs, les modalités du système étant régies par le code des assurances, le « Bonus à Vie MAAF » n’empêche pas en cas d’accident l’impact sur le coefficient de bonus malus du conducteur. La compagnie d’assurance MAAF n’est pas la seule sur le marché à proposer ce type de contrat. En effet, la Matmut propose de son côté un « super-bonus » pouvant atteindre 65% pour les conducteurs qui remplissent les conditions du bonus maximal depuis plus de 5 ans.

LCL propose une carte affinitaire aux 12- 17 ans

Après sa carte Collector Vélo lancée en juillet dernier, LCL lance de nouveau une carte affinitaire, cette fois vers les jeunes, en collaboration avec Affinion International. Baptisée Indépendance, cette carte bancaire, prépayée et rechargeable, est proposée aux jeunes de 12 à 17 ans. Les porteurs peuvent en outre bénéficier d’avantages dans plusieurs enseignes, à l’instar de UGC et CGR, Fnac.com, Score gamme, Lazer game, Kart'in (Karting)…

À noter également que la carte, disponible en quatre coloris, est distribuée dans les 2 000 agences du réseau.

Assurances & conquête : Le retour du Monocanal ?

Nous analysons et concevons des stratégies de commercialisation d’assurance, de conquête.

Certains n’hésitent pas à me dire que « le règne du multicanal est avéré et qu’il n’y a aucune place actuellement pour le monocanal, même sur Internet ».

A cela, je réponds toujours la même chose : Bien sûr, nous ne remettons pas en cause le « multicanal » (les deux peuvent vivre ensemble) mais nous persistons à dire qu’il y a probablement un certain nombre de pistes de réflexions, que nous engageons et qui ne nous semblent pas dénuées de fondements marketing.

Il semblerait, mais nous continuons à l’étudier, que la dimension « monocanal » pourrait s’avérer pertinente dans certaines hypothèses:

a) sur des environnements de produits spécifiques, par exemples :

-          produit d’assurance simple qui ne nécessite aucun complément d’information et dont les transactions peuvent s’effectuer en ligne,

-          produit d’assurance dont les coûts d’acquisition ne peuvent supporter les coûts du multicanal,

-          produit d’assurance « communautaires »,

b) sur des cibles particulières, par exemples:

-          population d’internaute qui est ou qui pense être « mature » pour l’achat d’un produit dont les transactions peuvent s’effectuer en ligne,

-          population d’internaute souhaitant s’équiper très vite ou en dehors des plages « plus multi canal » (agence, plate-forme téléphonique),

-   Certaines Micro Masses homogènes,

Nous continuons nos analyses et nos actions, mais surtout, vous, qu’en pensez-vous ?

N’hésitez pas à enrichir ce billet…

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La vague 2 du Baromètre Intentions de Résiliation – Santé est disponible

Le Baromètre Intentions de Résiliation – Santé de Tribulis étudie année après année les intentions de résiliation et d’équipement des adhérents individuels Santé en France, hors motifs « légitimes ». Il s’intéresse aux particuliers équipés dans des mutuelles, chez des IP et chez des assureurs, afin d’identifier et d’analyser d’éventuelles différences de comportements.

La vague 2 de ce baromètre, réalisée en novembre 2007, est terminée et les résultats sont disponibles. Pour en savoir plus, contactez notre département: [email protected]

BNP Paribas : la banque privée lance une solution d'assurance vie pour profiter du "paquet fiscal"

BNP Paribas Banque Privée lance une offre d'assurance vie intergénérationnelle pour permettre à ses clients de constituer et transmettre une épargne sécurisée à leurs enfants ou petits-enfants.

Les donations bénéficient de nombreuses mesures d'incitation, qui ont été renforcées récemment par le "Paquet fiscal" avec notamment l'augmentation significative des seuils d'abattement. La banque propose d'associer ces donations à la souscription d'un contrat d'assurance vie ouvert au nom du donataire.

L'offre proposée par BNP Paribas Banque privée, qui veut capitaliser sur les avantages juridiques et fiscaux des donations et de l'assurance vie, est construite autour de deux contrats :- BNP Paribas Multiplacements Privilège Donation pour réaliser un don manuel assorti d'un pacte adjoint. Cette formule permet de tirer parti des atouts de la donation dans un cadre sécurisé, sans crainte de dilapidation de la somme donnée.

- BNP Paribas Multiplacements Privilège pour constituer une épargne progressive au nom de leurs enfants ou petits-enfants, au travers de présents d'usage réalisés à l'occasion d'évènements exceptionnels (Noël, anniversaires, réussite scolaire...).

L’OCIRP lance la première édition du Prix * « Acteurs économiques et handicap ».

Interview de Jean-Manuel Kupiec, directeur général adjoint de l’OCIRP :

Pourquoi une telle initiative ?

Jean-Manuel Kupiec : Nous avons souhaité créer ce Prix pour faire connaître les actions d’innovation et de sensibilisation menées par l’ensemble des acteurs économiques en faveur des personnes handicapées après la mise en œuvre de la loi de 2005. Cette initiative prolonge les actions de notre organisme qui depuis 40 ans, en tant qu’Union d’institutions de prévoyance est dédié à la protection sociale de la famille. Notre organisme protège les salariés et leurs familles face aux risques tels que le décès, la dépendance et le handicap. Ces garanties sont souscrites au sein d’accords de branches professionnelles ou d’entreprises, aussi avons-nous souhaité réunir tout naturellement l’ensemble des acteurs économiques à l’occasion de ce Prix.

Qui peut concourir et quelles actions peuvent être présentées ?

Jean-Manuel Kupiec : L’originalité de ce Prix est d’ouvrir l’appel à candidature à la fois aux entreprises privées, aux fonctions publiques et entreprises publiques ainsi qu’aux structures qui composent le secteur de l’économie sociale.

Un Prix sera décerné dans chacune de ces trois catégories.

Il visera à primer les actions d’innovation et de sensibilisation menées tant auprès des salariés, des agents des fonctions publiques, que du grand public et des personnes handicapées elles-mêmes sur des thèmes aussi variés que les conditions de travail, le reclassement ou maintien dans l’emploi, l’accompagnement et la formation, l’accessibilité, l’information, la culture, la prévention…

Des annonces presse mettront en valeur les primés dans les médias. Ils pourront utiliser le Prix OCIRP pour mettre en valeur leur action dans leur propre communication.

Quels sont les partenaires associés à ce Prix ?

Jean-Manuel Kupiec : Afin de prendre en compte toutes les dimensions de ces actions et leur diversité, l’OCIRP a associé à ce Prix cinq partenaires incontournables fortement engagés sur le terrain du handicap. Ainsi, l’ANDRH et l’AGEFIPH pour les entreprises privées, le FIPHFP pour les fonctions publiques, l’ODAS pour les collectivités territoriales et le CLEIRPPA pour son expertise d’étude participent à cette première édition du Prix. Ils relayent notamment les appels à candidature dans leurs réseaux respectifs.

Comment participer ?

Jean-Manuel Kupiec : Il suffit de remplir un dossier de participation, téléchargeable sur Internet, composé d’une fiche de renseignements et d’un dossier de candidature. La date limite de remise des dossiers est fixée au 30 avril 2008 pour des actions en cours entre le 1er janvier 2007 et le 30 avril 2008. En participant au Prix OCIRP en tant qu’acteur économique, vous contribuez également à la réflexion et à l’évolution de la société française au changement de regard sur le handicap.

Une nouvelle étape dans l’engagement de l’OCIRP

L’OCIRP poursuit ainsi ses actions de communication déjà engagées sur le handicap - édition d’un cédérom documentaire, création d’un site « ressources », édition d’une plaquette sur le thème de l’entreprise et du handicap… Il démontre sa volonté d’inscrire le handicap comme une priorité dans la prévoyance complémentaire de l’entreprise en complément de la solidarité de l’État et des collectivités locales et de celle des familles.

Pour plus de renseignements : Internet : www.exempleasuivre.com

Mail : [email protected]

* Organisé par TRIBULIS

L’indice Verspieren Benefits, conçu et construit avec Tribulis

A l’occasion du dernier salon Avenir International Verspieren Benefits, le département spécialiste de la couverture des salariés à l’étranger du Groupe Verspieren, a présenté son Indice Verspieren Benefits. L’objectif de cet indice, imaginé et construit avec Tribulis, est de répondre à la question suivante : « quelle est la dépense santé annuelle moyenne d’une famille expatriée ? » au niveau mondial et par zones géographiques. Aujourd'hui, tous les temps forts de ce salon sont en ligne, et en particulier l’interview des responsables de Verspieren Benefits et Tribulis sur le sujet :

http://www.mondissimo.com/f_url_fr/gauchenews21tmpforts.asp?med_id=6

Une carte bancaire aux couleurs des Bleus

La carte «affinitaire» permettra aux supporteurs des Bleus de bénéficier «d'offres exclusives» dans le réseau Sport 2000. Le Crédit agricole vientde dévoiler une carte lancée en partenariat avec la Fédération française de football.

Les supporters de l’équipe de France de football pourront bientôt afficher leur passion sur leur carte bancaire. À quelques mois de l’Euro 2008, le Crédit agricole lancera en janvier une carte «affinitaire» sur laquelle figurera en bonne place le coq nouvellement relooké et le logo de la Fédération française de football (FFF). Une première en France. Son plus ? Cette carte bancaire classique permettra aux afficionados des Bleus de bénéficier «d’offres exclusives» dans le réseau Sport 2000.

En parallèle, la banque verte a créé un site dédié au ballon rond, «on a tous un côté bleu» (onatousuncotebleu.com), sur lequel les internautes pourront notamment gagner des places (voyage et hébergement compris) pour assister à l’Euro 2008 en Autriche et en Suisse. La carte ne sera commercialisée que pendant six mois (entre janvier et juin) et le Crédit agricole espère en vendre 100 000. Mais il est possible que cet objectif soit dépassé. En effet, la Société générale, qui avait lancé une carte rugby à l’occasion de la Coupe du monde, en a vendu plus de 120 000 en quelques mois, dont 40% à des femmes.

Les Français sont de plus en plus familiarisés avec ce type d’offres «marketing». Le groupe Banques populaires a donné le ton au printemps 2006, en proposant une carte déjà réservée aux amateurs de football. Cette initiative a été suivie par LCL avec la carte vélo (commercialisée entre mai et fin août). La semaine prochaine, Bred-Banques populaires proposera même une carte dédiée aux femmes !

Casser les prix

D’autres initiatives plus ou moins comparables devraient rapidement suivre. Depuis le 1^er octobre, le «co-branding» (co-marquage), qui consiste à apposer une marque commerciale sur une carte bancaire classique est autorisé en France. « Les cartes comarquées seront surtout affinitaires, autrement dit liées à un style de vie, une passion… Les cartes liées à des groupes de distribution seront moins nombreuses » , estime Olivier Mallet, consultant senior du cabinet de conseil Arkanea. Le porteur d’une carte comarquée a en main une carte bancaire classique qui lui offre en plus des avantages «commerciaux» (programmes de fidélisation, services) et parfois une ligne de crédit revolving (à l’utilisation facultative). Avantage: pour conquérir leurs nouveaux

clients, les promoteurs de ces cartes «deux en un» n’hésitent pas à casser les prix, ce qui à terme pourrait faire baisser le prix de toutes les cartes bancaires.

Solly Azar lance une nouvelle assurance auto temporaire

Fidèle à sa stratégie de niche, Solly Azar lance Temp’Auto.

Solly Azar Assurances qui s’est spécialisée, depuis 30 ans, dans la gestion de produits d’assurances à destination de populations souvent peu couvertes par les compagnies d’assurance traditionnelles lance Temp’Auto. Ce nouveau produit permet à tous les véhicules en transit ou en attente d’immatriculation d’être assurés durant quelques jours (3,8,15 ou 30 jours). Cette garantie est donc susceptible de séduire les acheteurs de VO aux enchères destinées à l’export, par exemple. "Nous proposons un tarif unique quelle que soit l’automobile" souligne l’assureur, donc indépendant de la puissance du modèle acheté ou de sa zone de circulation. Ce tarif s’établit à 62 euros pour 3 jours, 80 euros pour 8 jours, 108 euros pour 15 jours et 184 euros pour 30 jours.

La Colombie loge les services bancaires dans une carte SIM

Les propriétaires colombiens de mobiles peuvent désormais réaliser plusieurs opérations bancaires depuis leur portable grâce à une application intégrée à la carte à puce qui stocke les données spécifiques à l'abonné.

Le mobile est une banque. Après le Kenya et l'Ouganda, c'est au tour de la Colombie d'accéder à de multiples services bancaires depuis leur téléphone portable. Ce, grâce à une application logicielle sécurisée placée au sein de la carte SIM de l'appareil. L'initiative, menée par l'ensemble des opérateurs colombiens, le réseau bancaire Redeban Multicolor et le spécialiste de la sécurité numérique Gemalto, permet aux propriétaires d'un mobile et de l'application dédiée d'effectuer plusieurs opérations bancaires courantes. Il leur est ainsi possible de réaliser des transactions sécurisées, de consulter leur compte ou de régler leurs factures. Le tout 24 heures sur 24.

Des informations cryptées pour plus de sécurité

"Les utilisateurs gagnent en confort et en mobilité, puisque les services bancaires sont accessibles partout, à tout moment, en toute sécurité", note à ce sujet Rodrigo Sema, vice-président de la division Télécommunications chez Gemalto. Pour fonctionner, le système requiert également l'utilisation d'un serveur embarquant un logiciel capable d'interpréter les informations échangées entre les banques et la carte. Des informations cryptées sur le support SIM puis décryptées par la banque pour assurer une plus grande sécurité.

Des bénéfices en vue pour les opérateurs

Plus de vingt millions de personnes peuvent déjà profiter de cette gamme de services. Et selon les acteurs du projet, plus d'un demi-million d'opérations ont été effectuées depuis son lancement il y a quelques semaines. Un résultat qui correspond environ à six requêtes réalisées par client actif chaque mois. Pour les opérateurs, l'opération devrait également porter ses fruits. Notamment en leur permettant "d'augmenter leur chiffre d'affaires lié aux données ainsi que le revenu moyen mensuel par abonné", ajoute Rodrigo Sema.